

Les coloses de Memnon
Les colosses de Memnon sont les seuls vestiges du temple funéraire de d'Amenophis III, ils représentent deux statues du roi. Ces colosses, d'une hauteur de 18 mètres environ, étaient par le passé positionnés juste devant le pylône du temple. Ces statues, taillées dans du quartzite rose, représente donc le roi ainsi que sa mère Moutemouia et sa femme Tiyi, présentent au niveau des jambes du roi.
Si les colosses de Memnon sont aujourd'hui en si mauvais état, cela est en partie dû à d'autres rois égyptiens qui ont arrachés des pierres des colosses afin de les réemployer dans leur propre temple. Quant au temple, il a été totalement démantelé lors de l'antiquité; blocs, statues, et stèles se sont retrouvés dans les temples de Merenptah et de Ramsès III.

Les colosses de Memnon

Détails des colosses de Memnon

La puissance du pharaon est inscrite sur les deux côtés du trône : "Deux Nils nouant le papyrus et le lys", symboles de l'union de la haute et de la basse Egypte.

Le village Copte

Détails du village

Une tisserande à Copte

Environ de Copte
Le temple d'Edfou
Le dieu de la cité était un dieu faucon, l’Horus de Behedet.
L’importance d’Edfou s’affirme dès la plus haute antiquité. La nécropole archaïque a été retrouvée, et on a découvert dans le désert proche le nom de Ouadjit, l’un des premiers rois de la première dynastie.
Edfou doit sa célébrité, non à sa haute antiquité, mais au temple colossal qui s’éleva, à l’époque ptolémaïque, dans la ville.
C’est l’un des temples les mieux conservés d’Égypte et le deuxième édifice en grandeur après Karnak : 137 mètres de longueur, 79 mètres de largeur, 36 mètres de hauteur pour les pylônes.
Le temple fut érigé sur un temple beaucoup plus ancien. Ses travaux de construction furent commencés sous Ptolémée III en -237, pour se terminer sous Tibère, 180 ans plus tard.
Les romains le remanièrent et sa structure est presque semblable à celle de Denderah. Entièrement construit en grès, ce temple est remarquable par son plan harmonieux aux proportions parfaites, et sa conservation exceptionnelle.
Ensablé, il fut dégagé par l’égyptologue Auguste Mariette.

Entrée du temple d'Edfou

Fresque sur les murs extérieur

Fresque détails

Vestiges face au temple

Fresques sur les murs extérieurs

Fresques exterieures

Temple D'Horus

Cour intérieure
Le dieu Horus
Horus est l’appellation grecque d’une des plus anciennes divinités égyptiennes, le dieu faucon, dont le nom signifie probablement Celui qui est au-dessus ou Celui qui est lointain. Le culte d’Horus remonte sans doute à la préhistoire, car la liste royale du papyrus de Turin qualifie de Suivants d’Horus les rois légendaires qui gouvernèrent l’Égypte après le règne des dieux. Aux débuts de l’époque historique, le faucon sacré est figuré sur la palette du roi Narmer et dès lors il sera constamment associé à la monarchie pharaonique.

Statue du dieu Horus

Colonne intérieure

Détails des colonnes

Le sanctuaire

Détails du Sanctuaire

Barque funéraire

Fresque de la barque sacrée
Les hiéroglyphes:
Un hiéroglyphe est un caractère de l’écriture égyptienne.
L’écriture hiéroglyphique est figurative : les caractères qui la composent représentent en effet des objets divers, naturels ou produits par l'homme, des plantes, des figures de dieux, d'humains et d'animaux ; les déterminatifs, signes « muets » qui indiquent le champ lexical auquel appartient le mot.
Apparue au début du IVe millénaire av. J.-C., cette écriture sera utilisée jusqu’à l'époque romaine, soit pendant plus de trois mille ans.

Hiéroglyphes

Traduction des hiéroglyphes (le C est = au K)

Fresque et hiéroglyphes

Cour intérieure

Fresque détails

La divinité d'Apis remonte au début de la civilisation égyptienne.
Apis est un des quatre dieux du collège des dieux maîtres d'autel, avec les dieux Mnévis, Ageb-Our et Boukhis

Colonnes intérieures

Détails des colonnes intérieures
Pour visiter le temple de Kôm Ombo